Reconstituer un sonnet : Recopiez le texte de manière a retrouver la dispositions d'un sonnet.. La rue assourdissante autour de moi hurlait. Longue, mince, e, g
Français
princesse66140
Question
Reconstituer un sonnet :
Recopiez le texte de manière a retrouver la dispositions d'un sonnet..
La rue assourdissante autour de moi hurlait. Longue, mince, e, grand deuil, douleur majestueuse, une femme passa , d'une main fastueuse soulevant , balançant le feston et l'ourlet ; agile et noble avec sa jambe de statue. Moi , je buvais, crispé comme un extravagant , dans son œil , ciel livide ou germe l'ouragan , la douceur qui fascine et le plaisir qui tue. Un éclair... puis la nuit! - Fugitive beauté dont le regard m'a fait soudainement renaître , ne te verrai-je plus que dans l'éternité ? Ailleurs, bien loin d'ici! Trop Tard! jamais peut être ! Car j'ignore ou tu fuis , tu ne sais ou je vais ô toi que j'eusse aimée ,ô toi qui le savais!
Recopiez le texte de manière a retrouver la dispositions d'un sonnet..
La rue assourdissante autour de moi hurlait. Longue, mince, e, grand deuil, douleur majestueuse, une femme passa , d'une main fastueuse soulevant , balançant le feston et l'ourlet ; agile et noble avec sa jambe de statue. Moi , je buvais, crispé comme un extravagant , dans son œil , ciel livide ou germe l'ouragan , la douceur qui fascine et le plaisir qui tue. Un éclair... puis la nuit! - Fugitive beauté dont le regard m'a fait soudainement renaître , ne te verrai-je plus que dans l'éternité ? Ailleurs, bien loin d'ici! Trop Tard! jamais peut être ! Car j'ignore ou tu fuis , tu ne sais ou je vais ô toi que j'eusse aimée ,ô toi qui le savais!
1 Réponse
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1. Réponse caro67000
La rue assourdissante autour de moi hurlait.
Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse,
Une femme passa, d'une main fastueuse
Soulevant, balançant le feston et l'ourlet ;Agile et noble, avec sa jambe de statue.
Moi, je buvais, crispé comme un extravagant,
Dans son oeil, ciel livide où germe l'ouragan,
La douceur qui fascine et le plaisir qui tue.Un éclair... puis la nuit ! - Fugitive beauté
Dont le regard m'a fait soudainement renaître,
Ne te verrai-je plus que dans l'éternité ?Ailleurs, bien loin d'ici ! trop tard ! jamais peut-être !
Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais,
Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais !