Bonjour!, Transcrire le passage dans un système du présent « Je n'avais pas besoin qu'on me montrât le che min de cette chambre où jadis j'avais été si sou vent
Question
« Je n'avais pas besoin qu'on me montrât le che min de cette chambre où jadis j'avais été si sou vent appelée, soit pour être châtiée, soit pour être réprimandée. Je précédai Bessie et ouvris douce ment la porte. Je jetai les yeux dans un coin, comptant presque y voir se dessiner le martinet jadis redouté qui, pendu au mur, semblait guetter le moment de frapper mes mains tremblantes ou ma nuque contractée. Je tirai les rideaux du lit et me penchai sur la pile des oreillers. Mme Reed avait toujours le même visage sombre et impitoyable; je revis ces yeux que rien ne pouvait adoucir, ces sourcils arqués, impérieux et despotiques. »
Merci beaucoup au personne qui m’aideront.
2 Réponse
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1. Réponse niogret2m
Réponse :
Je n'ai pas besoin qu'on me montre le chemin de cette chambre où jadis j'ai été si sou vent appelée, soit pour être châtiée, soit pour être réprimandée. Je précède Bessie et ouvre doucement la porte. Je jette les yeux dans un coin, comptant presque y voir se dessiner le martinet jadis redouté qui, pendu au mur, semble guetter le moment de frapper mes mains tremblantes ou ma nuque contractée. Je tire les rideaux du lit et me penche sur la pile des oreillers. Mme Reed a toujours le même visage sombre et impitoyable; je revois ces yeux que rien ne peut adoucir, ces sourcils arqués, impérieux et despotiques. »
Explications :
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2. Réponse ficanas06
Je n'ai pas besoin qu'on me montre le chemin de cette chambre où jadis j'ai été si souvent appelée, soit pour être châtiée, soit pour être réprimandée. Je précède Bessie et ouvre douce ment la porte. Je jette les yeux dans un coin, comptant presque y voir se dessiner le martinet jadis redouté qui, pendu au mur, semble guetter le moment de frapper mes mains tremblantes ou ma nuque contractée. Je tire les rideaux du lit et me penche sur la pile des oreillers. Mme Reed a toujours le même visage sombre et impitoyable; je revois ces yeux que rien ne peut adoucir, ces sourcils arqués, impérieux et despotiques. »